Il est parfois difficile de passer le cap et d’aller consulter un psychologue.

Se livrer, mettre en mot ses difficultés et ressentis face à quelqu’un qu’on en connaît pas même si c’est un professionnel comporte une certaine prise de risque. Mon travail vise donc  en premier lieu à créer un climat sécurisant et bienveillant dans lequel vous vous sentirez en confiance  pour parler et exposer vos difficultés.

 Il s’agit pour moi d’être le plus à l’écoute possible de votre singularité, de votre rythme et de votre demande. En fonction de celle-ci, l’accompagnement proposé pourra s’orienter vers :

  • un travail  de soutien ponctuel avec des entretiens plus ou moins espacés ;
  • une  psychothérapie qui s’inscrit davantage dans la durée avec des entretiens réguliers.

Quelle que soit la forme, le travail thérapeutique tel que je le conçois, consiste à vous accompagner vers un changement qui vous redonnera de la liberté et de souplesse.

Il s’agit de vous aider à mettre en mot vos angoisses, vos questions, vos nœuds et blocages pour trouver des voies d’apaisement et de transformation. Winnicott, psychanalyste qui m’inspire beaucoup, parle d’accompagner le sujet sur le chemin de sa propre créativité.

Tout en étant ouverte à d’autres approches, je m’appuie surtout sur la théorie psychanalytique.

De par ma formation,  je suis particulièrement attentive aux questions qui touchent à la famille et à la façon dont les liens familiaux actuels ou passés peuvent être source de richesse mais aussi entraver le sujet dans sa vie, ses relations aux autres, ses projets.

Mon écoute se centre donc sur la personne en considérant son caractère unique tout en étant attentive à la dimension groupale, c’est à dire en considérant la complexité des liens dans laquelle  elle évolue.

Par ailleurs, mon expérience m’a amenée à me spécialiser davantage dans le domaine des troubles de l’enfant et des difficultés liées à la parentalité car j’ai eu la chance d’accompagner un grand nombre de parents dont les enfants ont des troubles psychiques (légers ou plus invalidants), un handicap, une maladie somatique.

Enfin, il est important de rappeler que je travaille dans le respect du code de déontologie des psychologues et que je suis soumise au secret professionnel.